L'Améthyste

L'Améthyste
L’améthyste est un quartz de couleur violette, dont l’intensité varie en fonction de la quantité de manganèse et de fer présents dans chaque gisement.
Elle est associée à la sérénité, à l'équilibre et à la tempérance.
Sa vibration violette est source de purification et incite à la méditation en renforçant l'intuition.
C'est la pierre de la Sagesse et de l’humilité. Elle combat l'ivresse et les intoxications en générales. L'améthyste favorise l'élévation spirituelle, la concentration et la méditation. Par ailleurs, elle purifie les pièces de votre habitation (chambre à coucher, salle de séjour, ...) ou des objets.
Puissante et protectrice, l'améthyste élève la vibration énergétique du lieu où elle est disposée.
Ce cristal produit un champ fort d’énergie, purificateur de l’atmosphère.
Au niveau du chakra coronal, elle apaise les maux de tête, les angoisses, stimule l'imagination, apporte la sérénité et favorise la méditation. L'améthyste dissipe les angoisses, les colères, la peur et l’anxiété et allège la tristesse. L'améthyste purifie l’aura, et équilibre le corps physique mental émotionnel.
Placée sous l'oreiller ou portée sur soi pendant la nuit, l'Améthyste chasse l'insomnie et les cauchemars.
Elle produit un sommeil paisible, ainsi que des rêves agréables, guérisseurs voire même parfois prophétiques, mais elle permet aussi à celui qui la porte de ne pas trop dormir non plus.
L'Améthyste nous remet sur le droit chemin !
Elle a une action sur les baisses de tension artérielle, sur l'anémie.
Dans une chambre à coucher, elle développera une ambiance calme et détendue.
Elle favorise l'élévation spirituelle, la concentration, la méditation, l'intuition, la créativité et la visualisation.
Lorsque le stress de la vie de tous les jours vous assaille, serrez une Améthyste dans votre main gauche (si vous êtes droitier, droite si vous êtes gaucher), et laissez ses vibrations déstressant es, calmantes et apaisantes pénétrer en vous.
Il est déconseillé d'utiliser l'améthyste en vue de purifier ou de recharger d'autres pierres, sauf pour recharger des pierres dites spirituelles soit des pierres violettes, bleues foncées, blanches, car ces dernières possèdent une énergie proche de celle de l’Améthyste.
- Purification et rechargement :
Sa purification s'effectue dans l'eau distillée salée et dans l'obscurité.
Son rechargement, se fait à la lumière lunaire ou sur un amas ou géode de quartz ou d’Améthyste.
L’ORIGINE MYTHOLOGIQUE DE L’AMÉTHYSTE :
Hettie Henriette Védrine dans son livre « Les Pierres Précieuses » rapporte admirablement la légende gréco-romaine de l’origine de l’améthyste, vous comprendrez donc pourquoi l’améthyste était surtout connue pour sa capacité à préserver de l’ivresse.
« Après le vin qu’il avait inventé et qu’il « honorait » copieusement et fréquemment, le dieu Bacchus aimait les chansons et par-dessus tout, celle de la nymphe Améthyste à la voix si suave. Fou d’amour et de doubles croches, il résolut de l’épouser et, sans plus réfléchir, s’en alla demander à son père Jupiter, la main et le gosier de sa belle.
Mais, Jupiter, le maître des dieux, avait horreur des mésalliances, sachant que la plupart du temps ces accouplements roturiers provoquaient à la longue des unions désastreuses.
Pourtant d’expérience, il savait également qu’opposer, un « non » catégorique à Bacchus (dont le caractère colérique trop souvent imprégné de boisson détruisait l’harmonie de l’Olympe) n’était pas le bon moyen. Jupiter préféra recourir à la ruse, une manière à lui dont il usait de temps en temps quand il voulait régler un différend.
Un jour où la belle Améthyste roucoulait comme un rossignol pour le plaisir extasié de son amoureux, Jupiter lança d’un geste nonchalant un éclair de foudre sur la belle enfant qui se retrouva complètement pétrifiée. Et ce mot n’est point une figure. La nymphe était bel et bien devenue une pierre, une laide pierre, dont l’aspect rugueux fit couler des yeux de Bacchus des larmes de désespoir et de pitié.
Bacchus n’était point sot et il ne tarda pas à comprendre que pleurer ne remédie à rien. A ruser, rusé et demi, se dit-il. Son père faisait de la plus belle des nymphes un vulgaire caillou ? Il la transformerait, lui, en femme étincelante ! Elevant de sa tête sa couronne de raisins, il choisit la plus belle grappe aux grains transparents et rosés, la pressa entre ses mains, l’écrasa et avec le jus parfumé inonda la pierre, la colora, l’affina, tant et si bien que le caillou devint clair et du violet le plus délicat.
Il restait à en faire la bénédiction. Bacchus s’y employa solennellement :
« Améthyste, belle Améthyste, je veux que sous la forme que t’infligea la colère de Jupiter, tu continues à être recherchée et appréciée des mortels. Puisque tu es devenue pierre, sois désormais la pierre de la vertu aimable, le symbole de la céleste puissance. Je veux que tous ceux qui te porteront puissent boire en restant sages, que l’ivresse et les maux qu’engendre le doux fuit de la vigne, leurs soient épargnés. J’ai dit. »
Et de ce jour, l’améthyste devint l’emblème de la tempérance ainsi que celui de la puissance spirituelle.
C’est donc à un dieu paillard et franc buveur que nous devons cette variété de quartz violet-pourpre, paré d’un éclat magnifique que l’on nomme améthyste (du grec, méthy, appellation d’un vin particulièrement enivrant souvent confondu avec l’hydromel, boisson des dieux).
Depuis les temps les plus reculés, l’améthyste était connue pour empêcher l’ivresse ou tout au moins protéger le buveur impénitent des mille folies que son état lui suggère. Du reste, le bon sens populaire affirme « qu’il y a un dieu pour les ivrognes », Bacchus à n’en pas douter ! »
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